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L’héritage culturel de Hyogo

Un voyage dans le temps

Les villes de la préfecture de Hyogo se distinguent par leur caractère unique, du port cosmopolite de Kobe à la station thermale historique d’Arima. Au-delà de leur charme particulier, ces lieux dévoilent les racines culturelles qui nourrissent les traditions vivantes de Hyogo : la culture portuaire, l’art des onsen, la fabrication du saké ou encore les fondements mythologiques du Japon. Le savoir et les valeurs des générations précédentes sont autant de clés pour façonner l’avenir. Cet héritage résonne avec le thème de l’Expo 2025 à Osaka, dans le Kansai : « Concevoir la société de demain pour une vie meilleure ». Découvrez les origines de Hyogo et approfondissez votre visite de l’Expo.

Le port cosmopolite de Kobe

Depuis l’ouverture de son port en 1868, Kobe s’est imposée comme une porte d’entrée vers les routes commerciales européennes et est devenue un carrefour d’influences occidentales. Des marchands européens y ont installé leurs résidences et comptoirs, façonnant un mélange culturel unique qui perdure encore aujourd’hui. Le front de mer animé du port de Kobe, aujourd’hui centre névralgique du commerce international, accueille également des lieux touristiques emblématiques tels que le parc Meriken et Kobe Harborland.

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Photo : La vue depuis Kobe Harborland

L’ancien quartier des étrangers (Kyoryuchi) de Kobe, situé dans l’arrondissement de Chuo, a été aménagé selon les principes de l’urbanisme européen. Ses rues pavées de briques et de pierres, empreintes d’un charme d’antan, accueillent aujourd’hui des boutiques élégantes, alliant patrimoine historique et expérience shopping contemporaine.

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Photo : Le bâtiment 15 de l’ancien quartier des étrangers de Kobe

La cuisine occidentale au Japon a évolué après l’ouverture du port, lorsque des chefs japonais ont adapté des plats venus d’Occident aux goûts locaux : c’est ainsi qu’est né le yoshoku, la « cuisine à l’occidentale ». Des classiques comme le ragoût de bœuf, l’omurice ou encore les croquettes de bœuf sont ainsi devenus emblématiques de Kobe.

Fondé en 1952, le Grill Ippei est un restaurant à l’occidentale apprécié pour sa sauce demi-glace signature, une recette familiale jalousement gardée et transmise depuis quatre générations. Dans son établissement principal Shinkaichi Honten, le chef Zhou Jianming prépare chaque plat avec soin pour satisfaire les palais les plus raffinés.

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Photo : L’établissement principal à Shinkaichi de Grill Ippei

L’influence du port a également marqué l’univers de la confiserie à Kobe. Depuis les années 1910, les pâtissiers locaux n’ont cessé de perfectionner les douceurs d’inspiration occidentale, au point que la ville compte le plus grand nombre de confiseurs par habitant au Japon. Parmi les spécialités emblématiques nées à Kobe, citons le baumkuchen de Juchheim, les gaufres fines de Kobe Fugetsudo, les chocolats Corbeille de Goncharoff, les écorces de Hontaka Sagoya ou encore les biscuits Broadland de Morozoff : autant d’excellents souvenirs à rapporter.

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À deux pas de l’ancien quartier des étrangers se trouve Nankinmachi, le quartier chinois de Kobe. À l’ouverture du port, les ressortissants chinois, ne pouvant s’installer dans le quartier réservé aux étrangers en raison des traités de l’époque, ont fondé leur propre communauté florissante. Les rues bouillonnantes de Nankinmachi, bordées d’échoppes et de restaurants, ont vite gagné la réputation d’un lieu où il est possible de trouver à peu près de tout. Le soir venu, le quartier est illuminé par des lanternes au charme envoûtant qui en font un spot photo très prisé.

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Photo : Nankinmachi, le quartier chinois de Kobe

Une source chaude non volcanique

Située dans l’arrondissement de Kita, au nord de Kobe, Arima Onsen s’étend au pied du mont Rokko, près de la vallée Momijidani (la « vallée des érables »). Facilement accessible (à moins de 30 minutes en train du centre de Kobe et à environ une heure d’Osaka), cette station thermale est l’une des plus anciennes du Japon, citée dans des textes anciens et célébrée aux côtés de Dogo Onsen (Ehime) et Shirahama Onsen (Wakayama) comme l’un des « trois anciens onsens » du pays. À l’origine, les sources chaudes japonaises n’étaient pas seulement synonymes de détente : elles étaient également prisées pour leurs vertus curatives ; ainsi est née la pratique du toji, un séjour prolongé dans un onsen à des fins thérapeutiques. Aujourd’hui encore, Arima séduit les visiteurs en quête de bien-être et d’immersion culturelle. Sa particularité réside dans ses deux types d’eaux thermales bien distinctes : la kinsen (« eau dorée »), avec sa teinte ambrée due à sa haute teneur en fer, séduit par sa chaleur enveloppante et ses vertus reminéralisantes ; et la ginsen (« eau argentée »), claire et douce, se distingue par sa légèreté et son effet rafraîchissant sur la peau.

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Si la plupart des sources chaudes sont d’origine volcanique, c’est-à-dire nées de la chaleur des volcans en activité, Arima Onsen et ses voisines (Takarazuka Onsen, Takeda Onsen et Nada Onsen) comptent parmi les rares sources non volcaniques. Elles sont désignées sous le nom d’onsen « de type Arima ». Sous cette région se trouve la plaque de la mer des Philippines, dont la subduction a débuté il y a environ 25 millions d’années. À une profondeur d’environ 60 kilomètres, l’eau est expulsée de cette plaque et remonte à la surface pour former ces sources chaudes. Ce phénomène géologique confère à Arima Onsen et à ses voisines un caractère exceptionnel et précieux à l’échelle mondiale.

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Photo : Une vue pittoresque de la ville d’Arima Onsen

Arima Onsen est réputée pour ses rues pittoresques qui attirent des visiteurs de tous âges. L’un de ses attraits majeurs est la rue commerçante d’Arima Onsen, bordée de nombreux restaurants et boutiques de souvenirs, qui se prête à merveille à une promenade tranquille. Pour vous imprégner encore mieux de l’atmosphère intemporelle de cette station thermale historique, vous pourrez vous vêtir d’un yukata traditionnel (à louer dans les auberges locales) et déambuler ainsi dans les rues. Immersion garantie.

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Photo : Arima Onsen : rue commerçante

À quelques pas seulement de la rue commerçante d’Arima Onsen, le sanctuaire Arima Tenjinja abrite sur son terrain une source naturelle d’eau chaude, appelée Tenjin Sengen : un témoignage supplémentaire de l’enracinement profond de la culture onsen à Arima.

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Photo : Le sanctuaire Arima Tenjinja

Les visiteurs peuvent passer la nuit dans de nombreux hôtels et ryokans, ou simplement opter pour une excursion d’une journée et profiter des bains publics d’Arima. Situé à proximité de l’entrée de la rue commerçante, Kin no Yu est un établissement emblématique de la station. Il est réputé pour ses eaux kinsen, riches en fer.

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Photo : La source thermale Kin no Yu

Pour ceux qui souhaitent découvrir l’effet rafraîchissant des eaux ginsen, Gin no Yu propose des bains légèrement pétillants et contenant naturellement du radium. Le tout à quelques pas de la rue commerçante principale, pour une parenthèse apaisante dans l’atmosphère hors du temps d’Arima.

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Photo : La source thermale Gin no Yu

La culture du saké de Hyogo

Nada Gogo désigne une zone côtière située entre Kobe et Nishinomiya, célèbre pour son grand nombre de brasseries de saké. Cette zone est composée de cinq quartiers distincts (Nishi-go, Mikage-go, Uozaki-go, Nishinomiya-go et Imazu-go) et est reconnue comme la première région productrice de saké du Japon, riche d’une tradition qui remonte au XIVe siècle. La culture du saké est ainsi profondément ancrée dans la vie et l’identité locales.

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Photo : Le saké seishu raffiné de Nada Gogo

La région de Nada Gogo a connu un essor remarquable à l’époque d’Edo, lorsque le saké était acheminé vers Edo (l’actuelle Tokyo) dans des fûts en cèdre. Au cours de ce voyage, l’alcool s’imprégnait des arômes du bois, ce qui enrichissait sa saveur : de là vient son surnom de « saké de Nada » (Nada no sake), ainsi que sa popularité dans la capitale d’alors.

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Photo : Des fûts traditionnels de saké de Nada

La préfecture de Hyogo est également réputée pour avoir développé le Yamada Nishiki, une variété de riz de grande qualité considérée comme idéale pour la fabrication du saké. Dans la région de Kita-Harima en particulier, ce riz est cultivé selon des exigences extrêmes qui en font le meilleur du Japon. Les célèbres brasseries de Hyogo utilisent ce riz, attirant les touristes via des circuits très appréciés, comme celui consacré à la dégustation de saké dans les brasseries locales de Kobe.

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Photo : Le Yamada Nishiki, le riz à saké de Hyogo

Au musée de la brasserie de saké Kiku-Masamune, situé dans le quartier Higashinada de Kobe, les visiteurs peuvent découvrir les 360 ans d’histoire de cette maison de saké réputée. Le musée abrite un atelier appelé Taru Sake Meister Factory, où des artisans fabriquent des fûts traditionnels de saké. Il offre ainsi un aperçu rare du savoir-faire lié à la production de cet alcool.

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Photo : Fabrication de fûts à l’atelier Taru Sake Meister Factory

Le musée de la brasserie de saké Kiku-Masamune abrite également une salle d’exposition sur le brassage, où sont présentés les techniques et les outils traditionnels de fabrication du saké. Les équipements anciens dévoilent le patrimoine culturel japonais et la complexité de ce savoir-faire. Les visiteurs peuvent également profiter de dégustations et acheter du saké sur place, ce qui rend cette excursion incontournable pour les amateurs.

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Photo : La salle d’exposition sur le brassage au musée de la brasserie de saké Kiku-Masamune

Fabriquez votre fût komodaru

À l’époque d’Edo, les komodaru étaient des fûts gainés de paille pour protéger le saké pendant le transport. Chez Kishimoto Kichiji Syouten, les visiteurs plongent dans l’histoire de ces fûts traditionnels, découvrent l’atelier et participent à des expériences interactives telles que le kagami biraki (ouverture d’un fût) ou la peinture de mini-komodaru.

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Photo : Des fûts komodaru chez Kishimoto Kichiji Syouten

Les rochers sacrés de Nushima

Nushima, île imprégnée de légendes, est considérée comme le berceau du Japon selon le mythe de la création nationale. Située à l’extrémité sud de la préfecture de Hyogo, cette île mystique est entourée de formations rocheuses et de récifs singuliers, qui s’explorent idéalement à bord de la croisière Onokoro. Cette visite guidée en bateau de pêche offre des vues spectaculaires sur les rochers sacrés de Nushima, accessibles uniquement par la mer.

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Plus de la moitié des 300 habitants de Nushima vivent de la pêche. La croisière Onokoro, dirigée par des pêcheurs locaux, emmène les visiteurs faire le tour complet de l’île, naviguant avec aisance autour des récifs acérés.

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Photo : Go Onoyama, le guide

L’un des sites incontournables est Anaguchi, une grotte profonde creusée dans une falaise haute de 80 mètres appelée Byobuiwa (« roche paravent »). D’une profondeur d’environ 50 mètres, elle aurait inspiré l’« entrée du monde souterrain » mentionnée dans le Kojiki, le plus ancien texte mythologique du Japon.

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Photo : La grotte Anaguchi

Kamitategami-iwa est un autre site à voir sur les 10 km de la croisière : une imposante formation rocheuse de 30 mètres de haut que les visiteurs découvrent en milieu de balade. Ce rocher représente la divinité Izanagi, associée à son pendant tout proche Shitategami-iwa, qui symbolise Izanami. Selon la légende, ces rochers sont aussi appelés Amenomihashira (« piliers célestes »), utilisés par le couple divin lors de leur union et de la création des terres. Les habitants surnomment affectueusement cette formation Tategami-san.

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Photo : Le rocher Kamitategami-iwa

L’île compte également bon nombre de sanctuaires et de temples associés au mythe de la création, notamment Onokorojima-jinja.

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Photo : Onokorojima Jinja, un sanctuaire dédié à Izanagi et Izanami, les divinités de la création du monde

EXPO 2025

Pavillon

En préparation de l’Expo 2025 à Osaka, dans le Kansai, la préfecture de Hyogo se transforme en pavillon vivant grâce à l’initiative Hyogo Field Pavilion. Ce projet met en valeur le charme de la région, porté par ses habitants qui partagent avec fierté leur patrimoine culturel et naturel. Parmi les programmes phares, la croisière Onokoro se distingue : elle offre non seulement des panoramas à couper le souffle, mais aussi l’occasion de rencontrer les habitants de l’île et de découvrir leur mode de vie et leurs traditions dans toute leur authenticité.

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Hyogo : une sélection d’offres

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