« Chaque matin, le jour nous ouvrait ses portes de lumiĂšre pour nous offrir le tableau dâun Van Gogh ou un autre CĂ©zanne. Que la nuit, jalouse, couvrait avec son voile parsemĂ© de millions dâĂ©toiles. Le concert nocturne pouvait alors commencer : au programme la Symphonie de mille et une nuits jouĂ©e par un orchestre de cigales. Les vacances â deux semaines passĂ©es sur la marge de la civilisation : sans tĂ©lĂ©vision, sans internet, sans la foule agitĂ©e si caractĂ©ristique pour nos grandes villes et les...